LA VIOLENCE DANS LES STADES !!!!!

SOLEILLADE a dit et entamé le débat

J'ai vu, certainement comme vous,
les violences autour du foot en Italie.
Je suis toujours aussi stupéfaite qu'un sport
déchaîne autant de violence !
Autant je comprends que ça déchaîne les passions,
autant je ne comprends pas qu'on bascule
dans la violence pour un sport !

bienvenou a répondu
ABSOLUMENT D ACCORD AVEC TOI SOLEIL
comme tu peux le remarquer sur ce forum
même si nous sommes à fond derriere notre équipe
nous entretenons d'excellents rapports avec
tous les supporters des autres equipes
qui pourraient etre nos """ADVERSAIRES "" terme guerrier
mais sont plutot nos amis
du moins on le souhaite ici


LA VIOLENCE C L 'ARME DES FAIBLES
TOUJOURS ET PARTOUT

FAITES L AMOUR PAS LA GUERRE

SOLEILLADE a conclu
Oui je suis bien d'accord avec toi,
la violence c'est l'arme des faibles !

VASTE DEBAT ....

L'Atalanta refuse «ses délinquants»
Les joueurs et l'entraîneur de l'Atalanta Bergame ont publié mardi un texte pour exprimer leur ras-le-bol à l'égard de leurs supporters les plus radicaux qu'ils qualifient de «délinquants», deux jours après que ceux-ci ont conduit à l'arrêt du match contre l'AC Milan. «Nous, entraîneurs et joueurs de l'Atalanta, avons le devoir moral d'appuyer publiquement et inconditionnellement la dure prise de position du président Ivan Ruggeri contre les délinquants qui, dimanche dernier, ont causé des incidents au stade de Bergame, et fait honte à toute la ville», écrivent-ils dans un communiqué rendu public sur le site internet du club.


«Ces délinquants, nous ne les voulons plus, ni au stade ni aux entraînements», continuent-ils. «Nous voulons seulement le soutien et l'affection des vrais sportifs qui, dimanche, ont manifesté avec force leur désapprobation à l'égard du comportement violent de cette minorité». Dimanche, les plus radicaux des supporteurs de l'Atalanta avaient forcé l'arbitre à suspendre le match contre l'AC Milan après 7 minutes de jeu. Furieux que la rencontre n'ait pas été reportée après la mort d'un tifoso de la Lazio, tué un peu plus tôt par un policier près d'Arezzo, ils ont menacé d'envahir le terrain après s'être acharnés contre une épaisse vitre de protection, réussissant à la briser en deux endroits.


Le président du club Ivan Ruggeri a déclaré mardi à La Gazzetta dello Sport : «Il y a des gens que je ne veux plus voir au stade. Je suis prêt à fermer la curva (le virage où sont massés les ultras, ndlr) si c'est nécessaire. Et je ne vendrai plus de billets pour les tifosi des équipes adverses. Je suis déçu pour tous ceux qui ne sont pas des délinquants. J'espère que la réaction populaire sera telle qu'elle pourra nettoyer le stade de la racaille qui a besoin de se faire soigner la cervelle et qui mérite d'être à un seul endroit : en prison».

LA CORRUPTION NE PERMET PLUS AU PUBLIC
DE RESPECTER LES INSTANCES
ET LA VIOLENCE SUCCEDE A LA CORRUPTION
CAR IL N 'Y A PLUS DE MODELE A RESPECTER ...NI DE REGLES
LES BARRIERES SONT FRANCHIES DE FACON IRREVERSIBLE
A MEDITER.......

Frey : «Nous sommes pris en otage»
Le deuxième gardien des Bleus, Sébastien Frey, craint les mesures «draconiennes» que pourraient prendre les autorités italiennes après les graves incidents de ce week-end en Italie. «A mon avis, c'est la goutte d'eau qui va faire déborder le vase, nous a confié le gardien français de la Fiorentina. Les autorités parlent de suspendre le championnat. C'est malheureux parce que nous, joueurs, ne sommes pas à l'origine de ce problème. Or, c'est nous qui en sommes les principales victimes. Aujourd'hui, je considère que nous sommes pris en otage. Et quand je dis nous, je parle du championnat italien en général. Ça ne m'empêche pas de souhaiter, comme tout le monde, que ce fléau soit endigué».


La doublure de Mickaël Landreau craint que de telles mesures - déjà prises pour les Series B et C - n'enveniment la situation. Il souhaite plus de modération dans un souci de sécurité et pour la cohérence du calendrier. «S'ils décident de suspendre le championnat, ils ne sont pas à l'abri de nouvelles manifestations contre cette décision. Et puis, pour moi, ce serait une grave erreur. Déjà qu'on a du retard sur les autres championnats européens, et qu'on est obligé de jouer tous les trois jours... A ce rythme là, on va finir par se retrouver sur les terrains tous les jours. Ce serait un vrai handicap, surtout qu'il y a aussi la Coupe d'Europe à jouer. A mon avis, la meilleure solution, c'est qu'on accepte dans les stades que les supporters abonnés au club qui reçoit. Alors c'est sûr, ça gâcherait le spectacle... Mais, à un moment donné, on finit par se demander jusqu'où se propagera cette violence. Si ça se trouve, bientôt, ce seront les joueurs les prochaines cibles».


«Dans l'oeil du cyclone»


La violence dans les stades n'est pourtant pas un problème nouveau dans le football italien. En février, un policier avait déjà trouvé la mort à l'issue du derby sicilien entre Catane et Palerme. Mais les solutions préconisées par les autorités, notamment celle concernant les huis clos dans les stades qui ne sont pas aux normes de sécurité, se sont pour le moment révélées inefficaces. Au total, 176 personnes ont été dénoncées pour des délits l'an dernier et près de 50 policiers ont été blessés, selon une étude menée par le quotidien Il Sole 24 Ore. «C'est difficile de trouver un responsable face à un problème aussi complexe. Est-ce que c'est à la Fédération ou aux autorités d'agir ? Je ne sais pas, temporise Frey. Tout ce que je vois aujourd'hui, c'est que le football italien continue d'en prendre un coup. Depuis deux ans, on est dans l'oeil du cyclone. C'est problème sur problème. Il faut vraiment faire quelque chose. Ça devient urgent