PROCHAINS MATCHS

Moi j'ai trouvé un OM come on l'adore, tourné vers l'offensive, plein de vivacité et d'envie, avec un costaud CIVELLI et un feu follet VALBUENA...

il faut qu'il joue comme cela au parc

Qui "il" ?

PARIS IS MAGIC ...MERCI PARIS

28e journée
TOUT EST RELANCÉ
L'Olympique de Marseille s'est relancé dans la course au titre. Les Phocéens sont revenus à une longueur de Lyon après leur succès contre le Paris-SG (3-1). Le club de la capitale est troisième, devancé en raison d'une moins bonne différence de buts.




Lyon ne dort plus que sur une oreille. Mais Lyon dort toujours. A chaque fois que sa première place est menacée, le leader peut compter sur la fébrilité de son premier poursuivant pour conserver les rênes du Championnat. Cela ne durera peut-être pas toute la saison. En attendant, c'est l'Olympique de Marseille qui lui a rendu un fier service sur la pelouse du Paris-SG en l'emportant 3-1. Sur ce qu'ils ont montré au Parc des princes, les Phocéens n'ont pas volé leur victoire. Ils ont dominé de la tête et des épaules une rencontre dans laquelle les Parisiens ne sont jamais vraiment rentrés. L'expulsion de Camara (53e) a précipité la chute de l'édifice parisien. Elle semblait inéluctable, tant les joueurs de Paul Le Guen se sont montrés incapables de bousculer les Marseillais. Paris reste sur le podium à une longueur de l'Olympique Lyonnais. Il voit surtout son adversaire du jour le doubler à la faveur d'une meilleure différence de buts (+17 contre +12). Pape Diouf évoquait un tournant dans la course au titre pour qualifier ce Clasico. Ses protégés ont parfaitement négocié le virage. Quatre équipes se tiennent désormais en trois unités, en incluant Bordeaux.



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Une vraie opposition de styles
En première période, seul le public du des Parc des Princes était là pour rappeler que le Paris-SG jouait à domicile. Sur le terrain, c'était une autre histoire. Comme souvent cette saison, les joueurs de Paul Le Guen ont brillé par leur incapacité à prendre le jeu à leur compte. Les intentions étaient marseillaises. La domination également. Plus mordants dans les duels, plus à l'aise techniquement, les Phocéens ont appliqué un pressing de tout instant qui a considérablement perturbé les relances parisiennes. Paris a subi. Paris a tenu... une grosse vingtaine de minutes. Après avoir échoué à cinq reprises dans ses tentatives de loin (1e, 2e, 4e, 17e, 20e), l'OM a fini par faire craquer son rideau défensif sur un splendide travail de Brandao. A la lutte avec Camara, le Brésilien a servi Zenden d'une subtile talonnade pour l'ouverture du score (24e). Paris a bien tenté de réagir, mais il a continué à se montrer trop approximatif dans ses contre-attaques. Il a finalement fallu attendre une ouverture lumineuse de Luyindula pour Giuly, parti à la limite du hors-jeu alors que Mears attendait de voir Hoarau signalé, pour voir le PSG refaire surface. Juste avant la mi-temps (43e).


Paris finit à dix
Paris est revenu des vestiaires avec beaucoup plus d'envie. C'est pourtant lui qui a fini par sombrer. En l'espace de deux minutes, Jérôme Rothen et ses équipiers on vu Zoumana Camara se faire expulser pour avoir anéanti une occasion de Zenden (53e) et Bakari Koné doubler la mise pour les Marseillais (55e) sur le coup franc ainsi provoqué. Landreau repoussait le tir du Néerlandais sur l'Ivoirien, qui confirmait ses bonnes dispositions loin du Vélodrome. Sur ses huit buts cette saison, sept ont été inscrits à l'extérieur. Tout un symbole pour une formation qui n'a perdu qu'une seule fois loin de ses terres depuis le début de l'exercice. Pour le Paris-SG, en revanche, la douche était froide. Et même définitivement glacée après un nouveau but d'un ancien de la Maison, Lorik Cana, à l'heure de jeu (61e). Pour la première fois depuis la saison 1995-96, le club de la capitale avait l'occasion de s'emparer de la tête à ce stade du Championnat. Hormis sur une dernière frappe de Giuly repoussée par Mandanda (84e), il n'a jamais été en mesure de (re)faire basculer la rencontre de son côté.

Qu'est ce que c'est bon

JE SUPPOSE QUE TU ETAIS AU PAARC DES PRINCES

Quarts de finale (9 et 16 avril)
Hambourg-Manchester City
PSG-Dynamo Kiev
Shakhtar-OM
Werder-Udinese

Demi-finales (30 avril / 7 mai)
PSG ou Dynamo Kiev VS Shakhtar ou OM
Werder ou Udinese VS Hambourg ou Manchester City

Finale, le 20 mai à Istanbul

Si on bat le Shakthar qui sont très costaud meme si ce sont des ukrainiens, et que Paris gagne contre le Dynamo Kiev, on jouerait contre eux en demi-finale ! Ce serait tout simplement ENOOOORME. Mais rien n'est fait encore, tout peut basculer...

Les amis, vous avez vu le classement de la Ligue 1 ce matin un peu??

Attends encore ce soir, mais j'espère que Lyon va perdre contre Sochaux...

Attendons...

Face à une formation du Chakhtior Donetsk aussi redoutable qu'Eric Gerets avait laissé présager, les Olympiens, pourtant entreprenants et bien organisés, ont concédé la première défaite de leur histoire en quart de finale d'une Coupe d'Europe (0-2), sur la pelouse du champion ukrainien en titre.


Tombeurs de Tottenham (2-0, 1-1) et du CSKA Moscou (0-1, 2-0) aux tours précédents, les « mineurs de fond » du Chakthior Donetsk ont de nouveau envoyé un message fort à la concurrence occidentale dans cette Coupe de l'UEFA.

Le club présidé par le milliardaire Rinat Akhmetov est bel et bien la sensation de ce printemps européen
, visiblement inspiré par l'insolente réussite de son voisin russe du Zenith Saint-Pétersbourg (tenant de la C3),
la saison passée.
Devant les 162 spectateurs olympiens
qui avaient effectué les quelques 3000 kilomètres séparant la Canebière du stade Olympique de Donetsk,
les hommes de Mircea Lucescu ont brisé d'un coup de canon l'invisibilité marseillaise en quart de finale de Coupe d'Europe.

Sur ses dix quarts de finale précédents, l'OM affichait avant ce revers un bilan flatteur de huit victoires pour deux matches nuls
. Jamais éliminé à ce stade de la compétition, les Marseillais devront désormais réaliser le match parfait au Stade-Vélodrome pour prolonger leur printemps européen.

Il va falloir se bouger au Vél.... Sinon c'est l'élimination directe !

CONTRE GRENOBLE
OM - Avec Ben Arfa, sans Zenden
Hatem Ben Arfa fait partie du groupe marseillais retenu par Eric Gerets pour recevoir Grenoble, dimanche. L'ex-joueur de Lyon souffrait des ischio-jambiers mais reste sur deux séances d'entraînement normales. Boudewijn Zenden est absent de ce groupe, sans que l'OM ait indiqué s'il s'agit de la conséquence de sa gêne à un mollet ou d'un choix sportif. Mamadou Samassa est lui aussi absent. Il paie les retours de Brandao et Sylvain Wiltord, non qualifiés pour le quart de finale à Donetsk, jeudi dernier. Ziani et Bonnart sont toujours indisponibles sur blessure.

Le groupe : Mandanda, Riou - Mears, Taiwo, Civelli, Hilton, Zubar, Rodriguez - Cana, Cheyrou, M'Bami, Kaboré, Valbuena, Ben Arfa - Wiltord, Niang, Brandao, Koné.

75eme l'om mene 3 a 0 contre grenoble^^

3 a 0 match aller
3 à 0 match retour

GRENOBLE

6 A 0 UNE ROUE DE BICLYCLETTE

et de 4 pour l'om il retse 1 minutes om 4 grenoble 0

Marseille 4 // 1 Grenoble
51e, 64e T.Taiwo // 90e+4 L.Courtois
58e V.Hilton
89e Brandao

si on compare le match d hier contre les ukrainiens et le match de CHELSEA


Y APAS PHOTO
CET OM LA

N A RIEN A FAIRE EN CHAMPION S LEAGUE

FO ETRE RAISONNABLE

non mais voilà quoi faut arreter à un moment de croire des choses qu'on ne peut pas réaliser c tout quand on fait un match avec une trentaine de frappes aux buts adverses et qu'on est pas foutu d'en mettre une au fond, on a rien a faire en demi-finale, on a que ce qu'on mérite !
Hier j'ai vu un très bon HILTON-CIVELLI, un bon TAIWO et BEN ARFA, les autres ZEROS !

L OM CONSERVE SA 1 ERE PLACE

BRAVO

Lorient 1 // 2 Marseille
8e K.Gameiro //59e R.Civelli 79e Brandao

j'ai un mauvais ressenti ce matin de ce match contre lille

un 5 éme sens
je crois à une large défaite
3 à 1

La fiche du match.