LIVE DE LAVAL/CASSISCARNOUX VENDREDI 19 SEPTEMBRE 20 H

Julio toujours le mort
Demain présent sur le live t'as intérét !!!

oui sa va etre un live bouillant il faudra que notre equipe LAVAL tout cru a cette equipe

TWEETY a écrit:

]TOUT LE SOCC VA SE BATTRE DEMAIN SOIR COMME D HABITUDE FAUT TOUJOURS Y CROIREVIVEMENT DEMAIN

ca y est on y est demain c aujour'hui

RENDEZ VOUS A TOUS A PARTIR DE 18 H POUR CHAUFFER LA SALLE

H - 8

LE LIVE PAS ENCORE COMMENCE QU'IL Y A DEJA PRESQUE 2 000 VISITES DESSUS
CA PROMET

Oui le match approche !!!!!!!!!!!

YES J AM READY

H MOINS 4

CA VA ETRE BOUILLANT CE LIVE
LES RECORDS ILS VONT EXPLOSER !!!!!!!!!!!!!!!

ET LA COMPO DU SOCC BIENTOT

Voilà moi je me lance, maintenant à vous:

RUIZ
BELLOUMOU SAVRY CANET NICODEME TORRE
DIOP NOURI CAZARELLY
HIMMES PASTORELLI

s-o-c-c a écrit:

ET LA COMPO DU SOCC BIENTOT

Voilà moi je me lance, maintenant à vous:

RUIZ
BELLOUMOU SAVRY CANET NICODEME TORRE
DIOP NOURI CAZARELLY
HIMMES PASTORELLI

MOI

LA MIENNE
....................AUREILLE
.....................SAVRY
BELLOUMOU/ NICODEME/ CANET /TORRE
NOURI /CAZARELLY / HAMEL/ DE LA LOMA
.................PASTORELLI

3 CHANGEMENTS PAR RAPPORT A LA MIENNE DONC
MAIS JE PENSES QUE POUR UN MATCH COMME CELUI CI DIOP SERA TITULAIRE
SA GRANDE TAILLE ET SA PUISSANCE SERONT UTILES CE SOIR

H MOINS 3

LAVAL 0 CASSISCARNOUX 0

A tout a l'heure !

A LA UNE DE FRANCEFOOTBALL.FR
Cassis-Carnoux défie Laval

Leader invaincu. Pour la première saison de son histoire en National,
Cassis-Carnoux ne manque pas de culot

. Vendredi (20h00), le promu provençal se rend à Laval (2e) pour le choc de cette 8e journée.
« On répondra présents », promet Romain Pastorelli. « Nous savons que ce sera très difficile.
Laval est une grosse cylindrée du Championnat.
Les Lavallois sont réguliers. Ces dernières années, ils ont, à chaque fois, fini aux pieds du podium. Tout le monde sait que dans très peu de temps, ils vont retrouver la Ligue 2 ».
Mais comment l'attaquant du promu provençal justifie-t-il le parcours de sa formation ? « Il n'y a pas d'explication.
On ne s'attendait pas du tout à un tel parcours », reconnaît-il. « En ce moment, on a tout pour nous, la réussite et le jeu. Nous sommes également tous solidaires, chacun se bat pour les autres. Nous formons une vraie équipe de copains ».

Gare à la meilleure défense du Championnat
Outre son état d'esprit, le club des Bouches-du-Rhône possède également des atouts certains.
Avec un but encaissé en six matches,
Cassis-Carnoux dispose actuellement de la meilleure défense du Championnat.
Mais l'arrière-garde des hommes de Léon Galli va-t-elle tenir face au Stade lavallois ?
« On ne se pose pas de question. On va jouer cette rencontre sans se mettre la pression », indique Romain Pastorelli, déjà auteur de trois buts cette saison.
« Pour l'instant, on occupe le haut de tableau et on va essayer d'y rester le plus longtemps possible.
Ensuite, il arrivera ce qu'il arrivera. De toute façon, on ne rêve pas d'autre chose que le maintien. L'important pour nous est d'avoir ces quarante et quelques points nécessaires pour rester en National ».

Avec déjà quinze points au compteur,
Cassis-Carnoux a pris un peu d'avance sur ses objectifs.



BIENVENOU ALLEZ CASSISCARNOUX
DANS LE HAUT DU NATIONAL

H MOINS 2

LAVAL 0 CASSISCARNOUX 0

National.

SITE DE LAVAL
Laval - Cassis-Carnoux (vendredi, 20 h). L'ancien Tango Cristophe Cazarelly, aujourd'hui à Cassis, s'est lassé des moeurs du foot pro.
C'est le genre de discours qui détonne dans le monde si aseptisé du football. Pourtant, Christophe Cazarelly s'affranchit de toute langue de bois lorsqu'il parle du haut niveau comme d'un univers « saoulant. Le climat m'a «gavé». La mentalité de certains mecs, les longs déplacements... Tout cela a pesé dans ma décision d'arrêter le foot pro. » À 33 ans, le milieu de terrain est passé amateur, il y a trois saisons, en signant à Fréjus puis Cassis-Carnoux. Il ne regrette pas son choix.

Rassurez-vous, son fiel ne se déverse pas sur son expérience lavalloise. Lui qui a passé huit saisons sur les bords de la Mayenne, entre 1995 et 2003, se souvient d'une époque heureuse : « Au Stade lavallois, je me suis régalé avec des bons mecs comme Mauricio ou Buzaré, qui sont toujours au club. » Le Marseillais de naissance a ensuite mis le cap sur Amiens, dans les bagages de Denis Troch, avant de signer à Reims. C'est là que les choses se sont corsées : « On a réussi à maintenir le club en L2. Ensuite est arrivé l'entraîneur Thierry Froger, qui a tout jeté par la fenêtre. J'en ai eu marre. J'ai arrêté. Question de mentalité. »

« L'actualité du foot ne m'intéresse pas »

Après le clash, direction le monde amateur et Fréjus, en CFA, puis Cassis-Carnoux. Le club provençal, après une année pleine, accède au National. Depuis le début de la saison, il surprend tous les observateurs en pointant à la première place du championnat, devant des écuries plus huppées, telles qu'Istres, ou le Stade lavallois, qu'il affronte demain soir.

Quelle est la recette de ce début de saison retentissant ? « On a une bonne équipe de copains, tout simplement, dit-il. La plupart des gars viennent de DH, du foot amateur. On joue les uns pour les autres. On n'est pas là pour se prendre la tête. » C'est un peu ce qu'il éprouvait au Stade lavallois, « avec des gars comme Calenda ou Stéphanopoli. Jouer pour les copains : c'est comme cela que je conçois le foot. »

Totalement vacciné de sa longue expérience chez les professionnels, Cazarelly avoue ne même pas suivre l'actualité du ballon rond. « Je ne m'intéresse plus du tout au football. Je sais que Cassis est 1er, mais je serais incapable de vous dire qui il y a derrière nous. » Ses amis lavallois, 2es, ne manqueront pas de le lui rappeler demain soir.

A.H.


• Christophe Cazarelly en bref. Milieu de terrain. Né le 10 février 1975 à Marseille. 33 ans. 1,75 m, 73 kg. Clubs successifs : Ancenis (N2, 1994-95), Laval (L2, 1995-2003), Amiens (L2, 2003-2005), Reims (L2, 2005-2006), Fréjus (CFA, 2006-2007), Cassis-Carnoux (CFA en 2007-2008 puis National en 2008-2009

Football : Les Lavallois vont devoir forcer le verrou provençal
National. Laval - Cassis-Carnoux, ce soir (20 h). Nous avons demandé aux entraîneurs du championnat ce qu'ils pensent du surprenant leader.
Quatre victoires, trois nuls, zéro défaite, six buts marqués contre un but encaissé, une place de leader : le début de saison de Cassis-Carnoux étonne. Voici les témoignages de quatre des six entraîneurs dont les équipes ont affronté le club provençal, depuis le 1er août.


Sylvain Jore (Calais, 0-0 contre Cassis-Carnoux) : « Cela me surprend de moins en moins qu'ils soient en tête, car ils sont très difficiles à bouger. Cassis, c'est avant tout un bon collectif, avec des joueurs qui défendent bien ensemble et attaquent bien ensemble. Ils mettent beaucoup de pression sur l'adversaire. En plus, quelques individualités apportent de la fluidité technique, comme leur milieu de terrain De La Loma, intéressant dans la dernière passe. Leurs deux attaquants pèsent aussi sur les défenses. Laval aura sans doute les moyens de les prendre à défaut, mais je ne préfère pas me prononcer sur un quelconque pronostic, car je n'ai pas vu le Stade lavallois jouer cette saison. »

Franck Rizzetto (Rodez, défait, 0-2) : « Je vais juger Cassis sur le match qu'ils ont disputé contre nous. Ce que j'ai pu voir, c'est que c'est une équipe en pleine réussite. Mais cette réussite, elle la provoque, car ses joueurs sont très généreux dans l'effort. Ils ne lâchent rien. Ils sont opportunistes offensivement comme défensivement. Il y a quelques éléments de qualité, même si leur défense a tendance à « balancer devant ». En jouant ainsi, leurs milieux récupèrent de nombreux « deuxièmes ballons » et ils peuvent ensuite servir leurs attaquants dans de bonnes conditions. »

Stéphane Crucet (Louhans-Cuiseaux, 0-0) : « Cassis n'est pas leader du championnat par hasard. Ils se basent sur une bonne assise défensive, un bon collectif et une grande solidarité. C'est une équipe typique du Sud de la France, assez difficile à manoeuvrer. Dès qu'ils perdent le ballon, ils se regroupent bien en deux lignes de défense délicates à pénétrer. Attention aussi à leur arrière latéral gauche, qui monte en permanence et peut déséquilibrer tout un collectif. On les a joués chez nous et on aurait pu gagner, car on s'est créé une ou deux occasions franches contre zéro pour eux. »

Laurent Hatton (Pacy-sur-Eure, défait, 0-1) : « Cassis-Carnoux, c'est surtout un bloc défensif extrêmement difficile à manier. Ils commettent beaucoup de fautes, ils sont à cinq derrière et c'est très compact, mais ils ne sont pas malhabiles non plus pour ressortir le ballon et vite se projeter devant le but adverse. Quand ils jouent à l'extérieur, ils sont d'autant plus redoutables qu'ils n'ont pas à faire le jeu. Ce sera le cas à Laval, je pense. En revanche, si les Lavallois parviennent à ouvrir le score, tout sera plus facile. Car Cassis n'est pas le genre d'équipe à vouloir prendre le jeu à son compte. »
Ouest-France