nous esperons t 'y voir à CARNOUX ce 11 MAI
NOUS TE FERONS BOIRE TELLEMENT DE VIN DE CASSIS
QUE TU NE VOUDRAS PLUS RETOURNER DANS LES ALPES
Submerger dans le vin tentatives de noyade
Les pratiquants Dafa ont été menottés, mains derrière le dos et la tête submergée dans un seau plein e vin ou bien on leur levait les pieds vers le haut pour faire tomber la tête dans un baquet d e vin . Ils ont forcé les pratiquants à boire du vin puis ont immédiatement rempli leur bouche de torchons afin qu’ils ne puissent pas respirer. Une autre torture consistait à répéter la procédure dans le bac des toilettes.
C QD MEME MOINS DUR QUE LA ROUE
ET TU VOIS ON A ENORMEMENT
DE MOYENS DE TE FAIRE CHANTER
ALLEZ CASSIS CARNOUX On appelle torture l’activité consistant à produire une souffrance intense ou longue, psychologique ou physique, en évitant ou du moins en retardant la mort. Elle peut produire des séquelles et des mutilations, mais c’est un effet secondaire, ou éventuellement un moyen de faire souffrir, et non un but en soi.
Au Moyen Âge et jusqu’au XVIIIe siècle en Europe, on la considérait comme un moyen légitime d’obtenir des aveux ou des informations de la part des suspects, informations utilisées au cours du procès.
Lorsque la torture est utilisée pour obtenir des aveux, elle est efficace pour affaiblir la victime, et souvent, c’est déjà bien suffisant pour les tortionnaires. Avec des aveux, à défaut d’avoir la vérité, ils auront une version officielle que la victime a elle-même reconnu, et même si elle revient sur ses déclarations elle ne fera que se contredire et donc se discréditer.
Ainsi, même si la victime avoue n’importe quoi, et même invente des faits pour faire cesser la torture, le résultat est satisfaisant pour le tortionnaire.
Il peut même arriver que la victime donne des informations qui seront vérifiables (par exemple : position d’un objet caché, trésor ou bombe), ce qui a posteriori légitime le procédé.
Torture au Moyen-Âge
Au Moyen-Âge, différentes méthodes de tortures furent utilisées par les bourreaux. Citons entre autres le chevalet, la poire d’angoisse, les brodequins, la question par l’eau, le supplice de la roue, celui du pal, ou encore celui de la vierge de fer.
Supplice de la chaîne
Le supplice de la chaîne était utilisé dans l’URSS de Staline pour obtenir des aveux. Il consistait à priver le détenu de sommeil et à lui faire subir des interrogatoires incessants[4]. L’accusé confessait les crimes les plus fantaisistes. La torture fut l’un des instruments de la répression soviétique au temps de la Grande Terreur, dans les années 1930.
C’était une torture psychologique et physique.
Asphyxie par absorption d’eau
Après leur coup de force du 9 mars 1945 en Indochine française, les Japonais, en particulier les services de leur police secrète, la Kempetaï, ont souvent eu recours à cette forme de torture pour obtenir des renseignements sur les résistants[5].
Torture à l’aide de produits chimiques
Les victimes peuvent être forcées d’ingérer des produits, chimiques ou non (verre pilé…) pour infliger la douleur et des dégâts internes.
Des produits irritants peuvent être introduits dans le rectum ou le vagin, ou appliqués sur les parties génitales. On a vu en Inde des femmes punies pour l’adultère subir une intromission de piment rouge dans le vagin. Des méthodes semblables ont été utilisées maintes fois en Afrique.
Torture à l’aide de l’électricité
Une méthode moderne de torture consiste à appliquer des chocs électriques sur le corps. Pour augmenter l’effet, le tortionnaire peut appliquer les chocs sur les parties génitales, ou introduire les électrodes dans la bouche, le rectum, ou le vagin.
Durant la Guerre d’Algérie, l’armée française a fait usage de la tristement célèbre gégène. Il y a de nombreux témoignages de torture électrique au Tibet, perpétrée par les chinois, plus particulièrement sur des religieuses bouddhistes, avec en particulier, l’insertion d’électrodes dans le rectum, ou le vagin.
La torture à l’aide d’électricité a été largement utilisée par les dictatures en Amérique latine contre ses opposants.
Torture à l’aide d’animaux
En Turquie, une des tortures utilisées par l’armée était l’introduction de rat dans le rectum. Il est fait mention de cette torture dans l’ouvrage de Sigmund Freud L’Homme aux rats.
Dans la Chine antique, des rats étaient emprisonnés dans une cage qui s’adaptait au visage du supplicié. Le visage de la victime était donc dévoré petit à petit, et la mort ne venait qu’à la section de la carotide, ce qui pouvait être très long.